jeudi 21 septembre 2017

Malacatan, Guatemala

21 septembre 2017

Ce petit résumé va commencer par: Si un jour vous avez la bonne idée de venir au Guatemala par la route, soit en voiture ou en moto, armez vous de patience. Et si en arrivant aux douanes (ici c`était à Talisman) et que vous voyez une dizaine d`homme habillé de chandail rouge foncer sur vous ben: FONCEZ vous aussi et vous aurez beaucoup de points si vous en frappez plus de cinq!!!

Nous nous sommes levé encore très tôt ce matin. La pluie avait cessé, ce qui est très bien. La frontière était tout près d`où nous étions. On étais préparé (que l`on pensais), il va y avoir beaucoup de monde, ça va être très long et des jeunes enfants vont nous entourer pour nous offrir leurs aide et nous demander de l`argent. No necessito ayudar! Nous n`avons pas besoin d`aide! Était la phrase pratiqué. HA. Mais ce n`est pas comme ça que sa se passe. Quant nous avons vu que nous approchions la frontière nous avons beaucoup ralenti, une bande d`homme en chandail rouge sont arrivé de tout bord tout côté pour nous entourer. On ne comprenais rien. En essayant d`en éviter quelques-uns j`ai due freiner en tournant. Erreur, tout motocycliste sait que l`on ne freine jamais en tournant. Je me suis ramassé par terre dans un trou de bord de rue. Ce que j`aurais due faire est: ne pas ralentir et foncer dans le tas et continuer mon chemin. Non sérieusement, je me serais retrouvé par terre de cette façon aussi. Ils m`ont aidé a me relever et relever la moto. On étais étourdi, aucune indication où aller, nada. Ils se sont excusé et nous on dit qu`ils nous montreraient où allé à la banque pour annuler notre permis (que l`on voulait faire faire hier), donc on les suit jusqu`à la banque. Ils nous on suivi et, maintenant que l`on y pense avec du recul, ils nous ont harcelé. Ils nous prenaient les papiers des mains voulaient tout faire pour nous. Au début je me disais qu`ils se sentait un peu mal de m`avoir fait tomber. Ils étaient deux au début, un suivait Jules et l`autre moi. Je suis entré la première faire la paperasse pour les motos, Jules est resté dehors avec les becyks. Ensuite lui est allé. Nous avons changer un peu d`argent en Quetzal (la monnaie du Guatemala) avec des revendeurs aux douanes, car ici aucune banque et on doit payer les permis en argent comptant.

Les procédures ne finissent plus, je me suis un peu fâché quand le gars qui me suivait essayait de tout faire pour moi, même remplir mes formulaires, aye le grand je suis encore capable d`écrire. C`est vrai qu`ils nous dirigeaient vers les bons endroits. A un moment donné je lui ai dit que l`on allais finir le tout tout seul, mais ils nous on suivit jusqu`au douane du Guatemala. Là ils nous ont fait stationné dans un stationnement payant et on a été presque fait prisonnier. Un de nous restait toujours avec les motos.
Quant après trois heures tout a été terminé ils nous on encerclé et derrière nous un camion s`est stationné pour nous empêché de sortir. Ils voulaient tous être payé. Hein?! C`est certain que l`on voulait leur donner quelque chose pour leur aide, mais là ils voulaient qu`on leur donne 50$ US chacun! Ils sont fou. On a refusé. Et on a tenu tête, va sans dire que l`on était insulté, fatigué et il n`était pas question de payer ce montant. On a négocié, le seul avantage que l`on avais était le temps, nous en avions plein et eux perdait des clients. Ils avaient chaud (et nous aussi pour d`autres raisons) un d`entre eux parlait bien l`anglais. Je ne me suis pas gêné pour leur dire que c`était du harcèlement, que leur pratique était dangereuse et que dans un monde civilisé on n`agissait pas ainsi avec les gens. Finalement ils ont eu la moitié de ce qu`ils demandaient et on due se le partager à la gang, car maintenant ils étaient rendu 4 ou 5 autour de nous. Ils n`étaient pas content et nous non plus. Mais la voiture c`est tassé, ils ont levé la barrière pour que l`on puisse partir. Ouf. J`ai pris des photos, mais internet ici ne fonctionne pas bien, donc ce sera pour plus tard.

Nous avons passé à la désinfection des motos avant les douanes, ils aspergent les véhicules d`un produit pour être certain que l`on ne ramène pas de bibittes du Mexique. Ensuite aux douanes, là tout a bien été. Nous avons réussis a nous sortir de cette foutu place et après trois heures on étais sur la route. Au premier village nous nous sommes arrêté pour décompresser. On a pris une boisson froide et deux gars qui étaient arrêté là eux aussi, qui ont passé les douanes avant nous, sont venu nous jaser. Très sympathique, ça nous a permis de relaxer un peu et de pouvoir se rendre ici à Malacatan. En parlant avec des gens on a réussi a se trouver, encore une fois, un jolie hôtel. Un peu plus cher que nous voulions payer (41$), mais on méritait de refaire le plein avant notre grosse journée de demain. On a bien fait, car présentemet c`est l`orage fou. Juste avant que la pluie commence, nous avons trouvé un endroit où retirer de l`argent et on a mangé une bouchée dans un tout petit kiosque sur le bord de la rue. Pas certaine de tout ce que l`on a mangé et bu, mais c`était bon. Et le dîner de tout les deux plus le jus nous a coûté un gros 2.50$. Donc on se reprend là dessus.

Ce soir nous faisons une mise au point. Demain est une autre journée.

Hasta Luego.



4 commentaires:

  1. Heyyyyyyyyyyyyyyyyyyy, c.était pas drôle ça. Fiou et le meilleur reste à venir? Bon courage et beaucoup de sang-froid. xxxx

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  2. Ouais. Qui a écrit ce commentaire??? Merci.

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  3. Ouais toute des aventures ca les amis , le Guatemala première impression? , reposer vous les amis

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  4. Ouin, moi j'ai pas eu de problème au Guatemala. C'est vrai que dans les petits villages il y a toujours des gens qui veulent t'aider à trouvé un hotel, un resto ou autre. Mais en général quand je disais non ils arrêtaient. J'ai passé les douanes à l'aéroport donc ça compte pas. Des bibittes par contre, il y en a bcp là aussi....J'espère que vous allez rencontré des gens biens comme moi j'en ai rencontré. Prenez une liquado (genre de smooties) c'est très bon, ça rafraîchit en pensant à moi. Bonne route au Guatemala, soyez prudents ��

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