samedi 30 septembre 2017

Antigua, Guatemala

30 septembre 2017

Comment commencer ce texte? Nous voulons vous mettre au courant de ce qui nous arrive sans être trop dramatique, sans trop être.... juste trop. Voilà vous n`avez pas eu de nouvelles depuis quelques jours, car nous avons été attaqué mardi passé, le 26 septembre au matin. J`ai cherché un autre mot, comme braqué, volé. Mais pour nous, attaqué, est le mot juste. Ne vous en faites pas, nous sommes maintenant à l`abri, dans une superbe auberge, avec des gens très gentils pour nous aider et nous encourager.

Nous voulons écrire l`histoire, car il y a d`autres voyageurs, que nous avons croisé en route et qui suivent notre blog. S`ils veulent passer par cet endroit, il faut qu`ils en soient averti.

Nous avons quitté San Pedro tôt mardi matin pour aller à la frontière du El Savador. En partant du village la route était très belle, mais au bout de 2-3 km elle est devenu étroite et toute défaite, une route de terre et de boue. Une pente descendente qui demandait de ne pas rouler trop vite et porter attention où on mettait les roues pour ne pas glisser. Quant tout à coup sortant de la forêt sont sorti deux hommes armé de fusils et de machette. Ils nous ont sauté dessus. Sans vous raconter tout les détails, disons que nous avions la pointe des fusils dans le front et ils criaient qu`ils voulaient de l`argent. Nous n`en avions pas beaucoup, celui avec la machette a coupé mon imperméable pour avoir accès a mon porte-feuille et il a aussi pris mon tank bag (rempli de choses). Un camion qui montait En sens inverse, avec trois hommes a bord, est arrivé. L`un des bandits a pointé son fusil vers eux et ils ont vite reculé, et même ils sont tombé dans le fossé avec leur camion. Les attaquants se sont sauvé en courant dans les bois avec mes choses, nous laissant traumatisé. Voir l`intérieur de fusils si proche et se faire taper à la machette était irréelle pour nous. Des gens nous sont venu en aide, un petit autobus de voyageurs et les trois hommes du camion, ce sont eux d`ailleurs qui ont contacté les policiers. Nous nous sommes rendu au poste de police du prochain village et on a fait une déposition. J`ai appelé l`ambassade du Canada, j`avais le noté le numéro, et ils nous ont envoyé d`autres policiers (ceux du tourisme), car la dame au téléphone nous disait de ne pas faire entièrement confiance à ceux du village. Notre niveau de stress était a son comble. Tout cela nous a beaucoup ébranlé. Nous ne voulions pas en parlé avant d`avoir réglé certaine choses et nous ne voulions pas, non plus, tout écrire sur le coup de l`émotion et regretter nos paroles. Nous avons mis nos familles au courant qu`hier soir et aujourd`hui j`écris ce texte pour vous.

Nous avons su, par après, que cette route est extrêmement dangereuse. Aucun signe, aucune pancarte ne nous avise de cela et, en plus, il y a un gardien à l`entré de la route, il aurait pu nous arrêter et nous avertir de prendre une escorte pour se diriger vers l`autre village. C`est la seule route pour sortir de là et aller vers l`est, la route 14 est l`unique sortie. Ceux et celles qui voudrait s`y aventurer, demander une escorte de la police. N`y allez pas seul ou à deux, ou même plus en fait, nous avons appris qu`ils ont même attaqué un autobus rempli de professeurs de l`endroit.

Les policiers du tourisme, nous ont trouvé un hôtel sécuritaire à Santiago de Atitlan, ils sont venu avec nous jusque dans la chambre pour s`assuré que tout était correct. Mais dans le fond ce n`est pas très rassurant. J`ai due faire beaucoup d`appels, je n`ai plus de cartes de crédits, une de mes cartes de débit, de permis de conduire ni d`enregistrements pour la moto. Les appels sont fait, j`avoue que j`harcèle presque la SAAQ pour avoir mon permis et papiers motos.

Sur  le coup de l`émotion notre première réaction a été de retourner à la maison. Mais impossible de mettre les motos sur un avion. Bon ensuite on voulais peut-être retourner en sens inverse et rentré avant le 15 décembre. Et puis, peut-être, laissé les motos ici, revenir en avion se reposer,  digérer tout ça et revenir chercher les motos. Et enfin, se resaisir, faire la paperasse, regagner la  confiance perdue, se reposer et continuer. Notre moral est en dent-de-scie, une heure on est encouragé et une autre on en a assez. C`est normal apparemment. Donc on focus sur une chose à la fois, du moins nous faisons de gros efforts. Avoir tout les papiers et carte en premier. Essayé de relaxer ensuite. Et prendre la bonne décision pour nous.

Ici, à l`auberge nous avons fait la rencontre d`un homme exceptionnel, Joseph. Peut-être que tout cela est arrivé pour une raison, pour que l`on fasse sa rencontre. Un homme qui vient du Texas, mais tellement pas Américain. Il dit que trois générations derrière il a du sang français (de la France). Il voyage seul depuis plusieurs mois, il était déjà ici à l`auberge quand nous sommes arrivé et tout de suite la chimie s`est installé. Il devait partir le lendemain, mais vous savez quoi, il est encore ici avec nous. Il nous a offert de faire un bout de chemin avec nous, il voyage tranquillement, il est photographe et prend son temps pour admirer ce qui l`entour. Il se dirige en Argentine lui aussi. Notre décision finale va sûrement se prendre bientôt, nous nous renforçons un peu tout les jours. Quant tout sera réglé, nous dormirons sûrement mieux.

Tout arrive pour une raison, il suffit de prendre du recul. Physiquement nous sommes ok, un peu perdu de poids, mais ok. Il reste a soigné la tête et la confiance. Nous sommes quand même plus encouragé aujourd`il qu`il y a quelques jours.

Demain ça ira encore mieux.

P.S. Ne paniquez pas, mais ici, tout autour de la ville il y a des volcans en éruption. Oups. C`est quand même beau à voir.

On vous aime. XXX

lundi 25 septembre 2017

San Pedro, Guatemala

25 septembre 2017

Aujourd`hui est notre troisième journée ici. Tout les matins il fait beau et la pluie s`installe graduellement dans l`après-midi. Donc le matin on marche et on se perd dans le village. Ben oui, même à pied on se perd, on en ris.

On a travaillé un peu sur les motos ce matin. Pression des pneus, graisser les chaînes et ajuster celle-ci. Il manquait un box hexagonal pour défaire la roue avant du becyk à Jules. Nous avons trouvé une quincaillerie et il y avait exactement ce que lon cherchais. Ensuite nous sommes parti à la recherche d`un endroit où changer de l`argent. C`est fou, c`est comme si quelqu`un s`amusait a changer les rues et les endroits de place. Non je vous jure, on reviens sur nos pas et on ne se retrouve pas à la même place!!! Nous avons fini par trouver une banque, minuscule, mais une banque quand même. Ouf impressionnant, nous sommes accueilli par deux hommes armé qui nous dirige vers un guichet. Là Jules demande pour changer de l`argent américain en Quetzal. Ok, passeport s.v.p. Quant elle finit de regarder celui-ci elle le remet à Jules et lui dit d`aller au guichet d`à côté. Ok, passeport s.v.p. Quoi encore? Bon. Donne le passeport pour une deuxième fois et l`argent a changer. Elle entre dans l`ordinateur le numéro de passeport et nous dit de retourner au premier guichet, où nous étions en premier. Ok, passeport s.v.p. Ben voyons donc! Encore sortir le passeport. Tout cela pour changer $50 US (352 Quetzal), une chance que l`on ne changeait pas $500 on serait encore là.

Voilà le résumé de notre journée. Bonne nuit.
Travail sur le becyk.
De la bouette sur le becyk.
Bananier, tout en bas une belle grosse fleur de bananier.
Lui là, le réveil de nuit, de jour, de matin. Il est quand même beau.
Un selfie de deux québécois perdu..... 

A plus.

samedi 23 septembre 2017

San Pedro, Lac Atitlan, Guatemala

Journée du 22 septembre 2017

Par où commencer? Nous avons passé une nuit blanche, beaucoup de bruit, les coqs ici chantent toute la nuit, pas juste au levé du soleil. En plus nous avons eu une grosse mise au point hier soir. Avons nous les capacités physique et mental pour ce voyage très exigent? A-t-on vu trop grand? Trop beau? Pas assez préparé? Chercher les routes, trouver les endroits où dormir, manger est devenu ardu et épuisant. C`est certain nous sommes un peu perturbé par la matinée que nous avions passé. On a discuté longuement. On arrête ou on continu?

On décide de continuer, on regarde tout ce que l`on a réussi a faire jusqu`à maintenant, le chemin parcouru et on se dit que l`on va se reposer, réfléchir et surtout changer notre état d`esprit. Prendre les choses une à une (du moins essayé), de se raconter au moins une blague par jour. On a perdu notre sens de l`humour, ben pas perdu, mais stocké quelque part. Donc nous partons pour San Pedro, là où plusieurs personnes nous on dit que l`on pourrais se reposer. On ne savais pas ce qui nous attendais!!!
Sur la route. 
Ici les maïs ne sont pas dans de grands champs, mais semé en parcelle, à flanc de montagne ou sur le bord de la route.
Nous sommes parti de Malacatan tôt. Le soleil était au rendez-vous. MERCI. Ça c`est pour la suite. On croyais qu`au Mexique les routes étaient mal indiqué. HA. Ici il n`y a rien, vraiment rien, aucun nom de route aucun numéro et parfois un nom de ville pas rapport, que l`on ne trouve pas sur nos mappes. Alors pas de GPS c`est pas évident. On arrête très souvent demander notre chemin, si une telle ville est dans cette direction. Quant on leur montre la carte, la majorité ne sait pas lire une carte, donc ils nous sont d`aucune aide. Nous savions que nous avions plusieurs villages a traverser. Lors de l`un deux nous avons emprunté une grande rue qui monte, avec une pente assez prononcée, dans le sens inverse! Ho malheur. Il y avait deux agents de circulation au beau milieu, je me suis arrêté en face du deuxième. Pas content le monsieur, il me fait signe de me tasser et il m`attendait avec son livret de contravention. Mais Jules lui, derrière moi, était avec l`autre agente, qui elle trouvait cela très drôle. Grâce au charme de Jules nous nous sommes évité une contravention. Hey mon monsieur n`était pas content lui, il voulait nous en donner une. Ok, mais là on dois tourner de 180 degré dans une pente abrupte et tourner à gauche à la prochaine rue. La dame arrête carrément la circulation pour nous laissé le temps de se retourner. Et là..... je tourne à la première rue à gauche et Jules lui tourne plus loin. Oups.... on s`est perdu.... NNNOOONNN... la communication coupe et ............... TÉ OÙ? Je croyais avoir perdu mon Jules... quant on se sépare un de nous dois arrêter, donc je me suis arrêté en bordure de route, ben de ruelle en réalité. Et là... la communication est revenu. La dame de la circulation riait bien de Jules quant elle l`a vu revenir. J`avais pris la bonne route, pas lui. Elle nous a dit de suivre un pick up beige devant nous, ça nous a aidé a sortir de cette ville. Bon une de faite.

Dans la maudite ville de Quetzaltenango là ça été la folie. Des sens unique, des gens qui nous dirige dans de drôle de direction, du trafic à rendre fou, des conduites en malade, on pensais mourir là. On est rendu un peu agressif, ben pas par rapport à eux, mais à ce que l`on étais avant, surtout Jules, moi je me garde encore une petite gêne. Ça prend une éternité a sortir de là, mais on y arrive. 

La route monte, monte et monte encore, on se rend dans les nuages et même au dessus. Là on retrouve le soleil, mais la chaleur elle disparait. Ça faisait longtemps que l`on n`avais pas eu froid. On a due arrêter mettre des doublures. Brrr... mais la route était belle, beaucoup de courbe et de très beaux décors.
Depuis le Chiapas, au Mexique, nous voyons très souvent des chevaux ainsi sur le bord de la route, ils sont attaché par une patte, ils ne peuvent pas aller bien loin ainsi. Beaucoup de chèvres, de moutons, de cochons, de vaches et de chevaux sur le bord des routes.

Quand nous avions regardé Google Map pour trouver la route pour se rendre ici, il nous faisait passer par un autre endroit. On a compris pourquoi assez vite. Disons que ce que nous avions vu nous c`était ça:
 
Donc on trouvais cela très cute. Beaucoup de courbes, on décide donc de choisir cette option. Erreur! Nous l`avons baptisé la route de l`enfer. La partie tout en bas en zig-zag est une route toute défaite, elle descend en pente très abrupte avec des tournants, comme vous pouvez le voir, à 180 degré. La route, comme tel, est un champs de mines. Des trous, des cratères, du sable et de la boue. Dans les tournants déjà qu`il fallait tourner sec en descendant, il fallait décidé lequel des trous était le moins pire pour ne pas se casser la gueule. Ensuite on avait environ 10 secondes ( ben j`avoue que l`on a pris un break ou deux) pour se repositionner et recommencer dans l`autre tournant qui était dans le même état. Jules a été un pro. Il a resté calme, il est passé le premier et me disait de quel côté de la route était le moins pire et si je devais tourner sec ou si je pouvais en prendre un tout petit peu plus large. Aussi il y avait des petits taxis à trois roues qui montaient et descendaient, qu`il fallait éviter. Ha oui et la cerise sur le sundae...un autobus. Il était trop gros pour prendre les tournants et devait avancer  et reculer pour tourner et plonger, lui aussi, dans les trous en descendant. J`ai due me  tasser dans un petit coin sur un tas de roches pour le laissé passer. Au premier tournant je me suis dit que je n`y arriverais jamais, que j`allais finir par me casser la gueule et débouler jusqu`en bas. C`était tellement haut! Mais j`ai réussis grâce à Jules et ses indications. On croyais que l`on ne verrais jamais la fin. Quand finalement nous sommes arrivé dans le village de  San Pablo, soulagement les rues sont en ciment. Le soulagement a été de courte duré. Entre les villages la route est, elle aussi un champs de mine et de boue. On espérait de tout coeur que l`on ne faisait pas tout cela pour rien. Arrivé à San Pedro après 9 heures de route, pour faire un gros 169 km, nous nous sommes stationné dans le premier endroit où les motos rentrait et on a analysé la situation. Le village ici n`est fait que de très petites  routes étroites, qui montent et descesdent, beaucoup de trafic et de gens dans les rues. Donc on décide de partir a pied chercher un endroit où se reposer pour quelques jours. On trouve, tout en bas du village un petit endroit pas cher, 26$ par jour, petit déjeuner inclus (un très bon déjeuner en passant, cela faisait longtemps que l`on avais pas mangé de bons fruits).
Cristalinas. C`est un hôtel, restaurant. Parfait pour nous. Situé directement sur le lac.
Le Lac Atitlan vue de notre chambre.
Les motos sont même en sécurité. Le hangard situé juste à droite des motos est un endroit où Luis fait  du bon café.
La rotissoir.
Luis et la machine qui casse le grain.
Le café prêt a être roti.
Les sacs de café avant la transformation. Les sacs gold,  sur la table à droite, sont ceux avec le café non moulu et ceux dans le panier parterre, à gauche, couleur argent ceux moulu. Ceux-là il en exporte quelques-uns chez un ami à Toronto.
Luis et sa femme Lola.

Va sans dire qu`à la fin de cette journée nous étions fatigué, mais d`un seul morceau.

Ici, à l`hôtel, il y a plusieurs chiens, non errants. Au moins quatre et celui-ci, Blacky, nous a adopté, ce matin il était couché devant notre porte de chambre. Et là sous notre table sur le balcon.
 
Nous nous sommes levé très tôt ce matin. Et les pêcheurs mettaient les filets à l`eau pour la journée.
Jolie jardin.
Voyez les belles montagnes. Certaine sont des volcans. La route de l`enfer était quelque part dans le milieu de celles-ci. Remarquez l`inclinaison abrupte. 
Un vieux monsieur avec son maigrichon de cheval.
Nous sommes parti à la découverte du village en avant-midi. Ici une rue typique. Savez vous pourquoi nous avons tant de misère a trouver les noms de rue? Hé bien on l`a  découvert:
La maison a poussé avec l`adresse dessus!
Tadam... 
Le maïs ici a une hauteur hallucinante.
On coule le ciment pour faire des supports pour une futur maison.
Ici quant il n`y a pas de cordes à linges, on utilise les toîts.
Journée de marché. Beaucoup de vie dans les rues.
Nous sommes monté tout en haut de cette église pour avoir une belle vue d`ensemble sur le village.
Remarquez le petit monsieur au deuxième étage, c`est lui qui nous a invité a monter.
Voilà, le village avec comme arrière-plan le volcan San Pedro.
Attente.
Triste.
Heure du lavage.

Ce soir nous avons fait du yoga, ça fait du bien.
Demain nous devons prendre soin du becyk à Jules. Nous nous sommes apperçu ce matin que le pneu avant est dégonflé. Oups! Un flat. Ça doit être le résultat des belles routes d`hier.

Voilà notre résumé des deux derniers jours. 

vendredi 22 septembre 2017

Photos

Nos becyks aux douanes du Guatemala. Avec celui qui m`a suivi à la trace.
Prisonnier du stationnement. C`est fou.
Deux choses a remarquer. Ceux qui travaille sur le toît de l`édifice. Ils mettent du ciment sur le mur extérieur. Incroyable. Et ceux au milieu, frappent avec des marteaux pour faire des trous pour que le ciment se colle mieux à la façade. Et la grosse barrière rouge et blanche qui nous empêche de sortir.
Une rue de Malacatan. Ici beaucoup de petit taxi-moto et de moto. Les rues sont pavées contairement au Mexique où celles-ci sont en roches.
Le devant de l`hôtel que nous avons trouvé.
Et l`arrière, tout plein de fleurs et de..... pluie. 

À plus.


jeudi 21 septembre 2017

Malacatan, Guatemala

21 septembre 2017

Ce petit résumé va commencer par: Si un jour vous avez la bonne idée de venir au Guatemala par la route, soit en voiture ou en moto, armez vous de patience. Et si en arrivant aux douanes (ici c`était à Talisman) et que vous voyez une dizaine d`homme habillé de chandail rouge foncer sur vous ben: FONCEZ vous aussi et vous aurez beaucoup de points si vous en frappez plus de cinq!!!

Nous nous sommes levé encore très tôt ce matin. La pluie avait cessé, ce qui est très bien. La frontière était tout près d`où nous étions. On étais préparé (que l`on pensais), il va y avoir beaucoup de monde, ça va être très long et des jeunes enfants vont nous entourer pour nous offrir leurs aide et nous demander de l`argent. No necessito ayudar! Nous n`avons pas besoin d`aide! Était la phrase pratiqué. HA. Mais ce n`est pas comme ça que sa se passe. Quant nous avons vu que nous approchions la frontière nous avons beaucoup ralenti, une bande d`homme en chandail rouge sont arrivé de tout bord tout côté pour nous entourer. On ne comprenais rien. En essayant d`en éviter quelques-uns j`ai due freiner en tournant. Erreur, tout motocycliste sait que l`on ne freine jamais en tournant. Je me suis ramassé par terre dans un trou de bord de rue. Ce que j`aurais due faire est: ne pas ralentir et foncer dans le tas et continuer mon chemin. Non sérieusement, je me serais retrouvé par terre de cette façon aussi. Ils m`ont aidé a me relever et relever la moto. On étais étourdi, aucune indication où aller, nada. Ils se sont excusé et nous on dit qu`ils nous montreraient où allé à la banque pour annuler notre permis (que l`on voulait faire faire hier), donc on les suit jusqu`à la banque. Ils nous on suivi et, maintenant que l`on y pense avec du recul, ils nous ont harcelé. Ils nous prenaient les papiers des mains voulaient tout faire pour nous. Au début je me disais qu`ils se sentait un peu mal de m`avoir fait tomber. Ils étaient deux au début, un suivait Jules et l`autre moi. Je suis entré la première faire la paperasse pour les motos, Jules est resté dehors avec les becyks. Ensuite lui est allé. Nous avons changer un peu d`argent en Quetzal (la monnaie du Guatemala) avec des revendeurs aux douanes, car ici aucune banque et on doit payer les permis en argent comptant.

Les procédures ne finissent plus, je me suis un peu fâché quand le gars qui me suivait essayait de tout faire pour moi, même remplir mes formulaires, aye le grand je suis encore capable d`écrire. C`est vrai qu`ils nous dirigeaient vers les bons endroits. A un moment donné je lui ai dit que l`on allais finir le tout tout seul, mais ils nous on suivit jusqu`au douane du Guatemala. Là ils nous ont fait stationné dans un stationnement payant et on a été presque fait prisonnier. Un de nous restait toujours avec les motos.
Quant après trois heures tout a été terminé ils nous on encerclé et derrière nous un camion s`est stationné pour nous empêché de sortir. Ils voulaient tous être payé. Hein?! C`est certain que l`on voulait leur donner quelque chose pour leur aide, mais là ils voulaient qu`on leur donne 50$ US chacun! Ils sont fou. On a refusé. Et on a tenu tête, va sans dire que l`on était insulté, fatigué et il n`était pas question de payer ce montant. On a négocié, le seul avantage que l`on avais était le temps, nous en avions plein et eux perdait des clients. Ils avaient chaud (et nous aussi pour d`autres raisons) un d`entre eux parlait bien l`anglais. Je ne me suis pas gêné pour leur dire que c`était du harcèlement, que leur pratique était dangereuse et que dans un monde civilisé on n`agissait pas ainsi avec les gens. Finalement ils ont eu la moitié de ce qu`ils demandaient et on due se le partager à la gang, car maintenant ils étaient rendu 4 ou 5 autour de nous. Ils n`étaient pas content et nous non plus. Mais la voiture c`est tassé, ils ont levé la barrière pour que l`on puisse partir. Ouf. J`ai pris des photos, mais internet ici ne fonctionne pas bien, donc ce sera pour plus tard.

Nous avons passé à la désinfection des motos avant les douanes, ils aspergent les véhicules d`un produit pour être certain que l`on ne ramène pas de bibittes du Mexique. Ensuite aux douanes, là tout a bien été. Nous avons réussis a nous sortir de cette foutu place et après trois heures on étais sur la route. Au premier village nous nous sommes arrêté pour décompresser. On a pris une boisson froide et deux gars qui étaient arrêté là eux aussi, qui ont passé les douanes avant nous, sont venu nous jaser. Très sympathique, ça nous a permis de relaxer un peu et de pouvoir se rendre ici à Malacatan. En parlant avec des gens on a réussi a se trouver, encore une fois, un jolie hôtel. Un peu plus cher que nous voulions payer (41$), mais on méritait de refaire le plein avant notre grosse journée de demain. On a bien fait, car présentemet c`est l`orage fou. Juste avant que la pluie commence, nous avons trouvé un endroit où retirer de l`argent et on a mangé une bouchée dans un tout petit kiosque sur le bord de la rue. Pas certaine de tout ce que l`on a mangé et bu, mais c`était bon. Et le dîner de tout les deux plus le jus nous a coûté un gros 2.50$. Donc on se reprend là dessus.

Ce soir nous faisons une mise au point. Demain est une autre journée.

Hasta Luego.



mercredi 20 septembre 2017

Tapachula, Chiapas, Mexique

20 septembre 2017

Tout commence par..........un tremblement de terre! Oui oui. A 3h00 a.m. Jules et la dame de l`hôtel on senti un vrai tremblement de terre. Moi ben ça l`air que non. Je ne m`en rappel absolument pas. Je mettais un peu en doute les dires de mon chum. Mais la dame nous a demandé si on avais senti le sismo à las tres horas? Alors là j`ai due m`excusé auprès de monsieur Jules pour avoir douté. Mais pas de dommage tout est sous contrôle.

Nous avons pris un bon desayuno (petit-déjeuner) à l`hôtel. Il y avait un grosse bibitte qui se promenait près de nous. Comme moi et les bibittes on ne fait pas bon ménage j`en ai avisé la dame et elle a bien rit. Elle est allé la chercher par les ailes et me l`a apporté. Ouach. Elle nous dit qu`ici on les fait frires et on les mange. Double ouach! Sinon elle les donne aux oiseaux, c`est ce qu`elle a fait.
Elle nous dit qu`elle pique juste quelques fois, ben oui avec moi c`est garantie. Non merci.
On nous annonçais des orages pour aujourd`hui, nous avons finalement roulé au sec toute l`avant-midi. Une chance que l`on n`avais pas mis les imperméables! On aurais eu chaud en titi. Nous sommes arrivé ici à Tapachula vers 13h00. La raison pour laquelle nous nous arrêtions à cet endroit est que nous devons faire annuler nos assurances motos que nous avions pris en entrant au Mexique. On paie un montant de base et en plus $400 chacun qui nous est remboursé dès que l`on quitte le pays. Ils veulent être certain que l`on ne vend pas les motos au Mexique. À l`endos de ce permis il est inscrit que l`on dois retourner à la même banque pour se faire rembourser. On avais lu qu`il y avait un endroit tout près d`ici pour le faire. Donc... nous ne trouvions pas d`hôtel sur notre route avant cette grande ville. Tous des bordels et une beaucoup trop chère pour nos moyens. Donc on se lance à la recherche d`un endroit dans cette foutue ville. Ouf! Nous nous arrêtons sur le bord du trottoir, dans le trafic fou devant un vendeur de batterie de voiture. Le monsieur très gentil se fait prendre en photo avec nos becyks. Elles sont devenue de vrai vedette. Il nous indique où on peux aller pour se trouver un hôtel pas cher. Bon on se lance. Jules arrête le premier pour demander s`il y a une habitacion libre. Oups c`est un hôtel louche où il semble y avoir beaucoup d`activité illégale. On change de place et comme par hazard, on en trouve un sur une belle rue toute tranquille.... voyez par vous même:
Paisible n`est ce pas? 
On trouve sur internet l`adresse de la banque où on veux aller. Elle ferme dans une heure et elle est à 3,5 km. Donc hop on marche vite pour arriver avant la fermeture. Bingo 15 minutes d`avance, on a chaud, on n`a pas pris le temps de dîner, mais on est à l`heure. Sauf que..... ce n`est pas là que l`on dois faire la transaction. Il y a une autre succursale aux douanes!!! Tout ça pour rien. On se prends quelques trucs a manger dans un super marché et on retourne à l`hôtel. Juste a tant, car un gros orage nous tombe sur la tête. 
Un très vieil arbre dans la ville.
Belle clôture.

C`était notre dernière journée complète en sol Mexicain. Demain le Guatemala nous attend.


mardi 19 septembre 2017

Arriaga, Chiapas, Mexique

19 septembre 2017

Rassurez vous nous sommes sain et sauf... on cherche encore les motos sous les décombes, dès qu`on les trouve on vous fait signe! Ben non, s`t`une blague.

Nous sommes parti ce matin avec nous gros imperméables jaunes, sous la pluie, qui avait déjà beaucoup diminuée. Nous avions l`air de deux extra-terrestres, on se faisait regarder partout où nous allions. La pluie n`a pas durée, au bout d`une heure nous les avions enlevé. Nous avons roulé sur de belles routes aujourd`hui, les 50 premiers kilomètres nous étions fin seul sur une superbe route sinueuse à souhait. Ensuite nous avons pris l`autoroute et on pouvais rouler 110 km/hr wow. Par la suite nous avons retrouvé notre chère route 200 pour se rendre ici à Arriaga. Nous avons trouvé un super hôtel (le seul qui ai du bon sens ici), en prime il y a un restaurant. Wow on est gâté. Nous avons marché dans la ville après souper. Tout ici est tellement pauvre et triste. A chaque endroit où nous marchons le soir, tout se ressemble. Des chiens errants, des rues brisées, des gens qui travaillent (avec le sourire), des endroits tellement insalubre, des trous partout sur les trottoirs, dans la rue.

Depuis notre arrivé sur ce côté ici du Mexique nous avons fait le choix de passer par la côte. Nous voulions, dans un premier temps, éviter les grosses villes vu que l`on a pas de GPS (ni de sens de l`orientation), ensuite on voulais voir les gens des villages, ceux qui ne vois pas beaucoup de touristes, ceux qui font leur affaire sans vouloir en mettre plein la vue à ceux qui sont de passage, comme nous. Ensuite, vue les tragédies qui semblent avoir adopté le Mexique depuis quelques semaines, on se disait que la route que l`on a choisi serait sûrement la moins touchée. C`est certain elle était souvent en très piteux état, mais on crois que c`est son allure normale, sauf à certain endroit où les ouragans ont passé. Nous en avons eu le dépaysement que l`on souhaitait. Partout les mexicains rencontré nous on salué, klaxonné en nous levant le bras en guise de salut. Quand nous arrêtions ils venaient nous demander d`où on venait, toujours avec le sourire. Bon ok, certain vieux monsieurs, saluait Jules, mais pas moi. Va savoir pourquoi! Parlons en des personnes âgées, ici il n`y en a pas beaucoup. La moyenne d`âge dans les villages est entre 20 et 50 ans, beaucoup d`enfants, des jeunes en bas de 5 ans, mais pas beaucoup de personnes âgées, et ceux que l`on rencontre travaillent encore. L`espérance de vie ne doit pas être bien haute ici.

Une chose dont on ne s`ennuieras pas ce sont les Maudits Tope (ou reductor depuis l`Oaxaca) on en a ras-le-bol de ces sapristies dos d`âne!!!! PU KAPABLE. Si ça continue Jules va défaire son becyk avec ça, on les vois à la dernière minute trop souvent et HOP on vole par dessus. Il y en a partout, partout, partout, même dans des côtes en montant un belle route sinueuse ben ils en mettent. POURQUOI? Dans chaque village il y en a un gros à l`entré et à la sortie et entre les deux il peut y en avoir de 2 à 10 même selon la grosseur du village. Les camions, les petites voitures et les autobus les passes à 2-3 km/hr, car ils frottent souvent le dessous de leur véhicule. Nous on peux les passer un peu plus vite, mais on dois trop souvent ralentir à leur vitesse. Si c`était seulement certain village, ben non ce sont TOUT les villages qui en ont..... bon ma montée de lait est fini.

On se reparle demain les ami(e)s.

Crucecita, Oaxaca, Mexique

19 septembre 2017

C'est la flotte! Il pleut et des orages toutes la nuit. Que vont avoir l'air les villages déjà ravagé? On annonce cette belle température tout le reste de la semaine. Alors on pars quand même.

À suivre...

lundi 18 septembre 2017

Pinotepa Nacional, Oaxaca, Mexique

17 septembre 2017

Quelle journée! Que d`émotions et de surprises.

Après avoir passé une nuit blanche, à cause du bruit, nous sommes parti tôt de Acapulco. Nous devions traverser la ville au complet et ce n`est pas une mince affaire sans GPS. Avant de partir nous nous sommes renseigné au près des gens de la place par où eux passent, chacun avait sa version. Ensuite tout le monde veut nous aider, nous écrive sur des bouts de papiers des routes a prendre. Bon, Google Map lui nous suggère autre chose. Nous nous sommes apperçu que justement sur Google Map il y a un pointeur qui fonctionne un certain temps pour nous situé aux alentours, même si nous ne sommes pas connecté à internet. Donc Jules met le ipad sur son tank bag et on pars. Nous arrêtons souvent, car ici le nombre de rue ne correspond pas toujours à ceux sur la mappe. Nous nous retrouvons dans une petite rue avec tout plein de petits marchés qui se préparent a ouvrir, des taxis, des marchands, des clients. C`est la cohue totale, on est coincé et on ne peux arrêter nul part. Bon on s`en sors intacte, Jules a failli se faire frapper par un taxi, de justesse... on fini par prendre ce qui semble une bonne route, mais......... nous brûlons (apparemment) un feu rouge. On décide d`arrêter encore une fois pour voir où nous étions rendu et la police nous aborde. Le policier nous dis que nous devons nous arrêter quand il klaxonne après nous. Désolé moi je croyais que c`était l`autobus qui klaxonnait déjà depuis plusieurs kilomètres après tout ce qui était sur son passage. Le policier nous demande de le suivre au poste de police pour régler le billet d`infraction et que l`on pourrais repartir après. Nous sommes désolé, on est perdu, on veux sortir d`ici. Bon ok il nous fait comprendre que l`on peux le payer cash si on veux et oublier le poste de police, sauf qu`il faut aller plus loin. Là où il n`y a pas de caméra et il y avait d`autres policiers autour. On le suit donc en moto et il nous amène plus loin, nous lui donnons 100 pesos (l`équivalent de $7) et en plus il nous escorte, tout gyrophares allumé jusqu`à la sortie de la ville. C`est comme si on avais payé la police pour qu`elle nous sorte de là! Comble de malheur nous prenons l`autoroute en sens inverse, oups, 50 mètres plus loin on se remet dans le droit chemin.

Trois heures plus tard nous avions environ 100 km de fait. Woupi! Mais là la route est barré, travaux oblige, car la moitié du chemin c`est effondré. Sûrement a cause des ouragans. On attend sagement:
Attendre forme la patience...
En matinée la route est assez défaite, beaucoup de trous, de sables, de roches. Beaucoup de villages, de topes et de monde dans les rues. Donc on roule tranquillement pas vite. On est pas pressé on est en vacance. Nous arrêtons dîner sur le bord de la route. On essais toujours d`arrêter à l`ombre.
Un marché comme il y en a des milliers sur le bord des routes.
Chut le monsieur dort peut-être dans son hamak...

Au beau milieu de l`après-midi nous roulons toujours sur la 200, nous sommes au beau milieu des champs quand tout à coup.... un tarentule traverse le chemin. Wouach!
Quelques minutes plus tard, un bibitte est entré dans mon manteau, ben oui, MON manteau, pas celui de Jules ou quelqu`un d`autre. Pourquoi quant il y a une satanée bibitte qui rentre dans un manteau est ce que c`est toujours le mien? Elle se met a me piquer dans le dos. J`arrête en catastrophe, Jules vient m`aider, en levant mon chandait elle sort. En ayant bien pris soin de me piquer 4 - 5 fois avant de partir. On mets donc tout de suite du Benadyl en bâton dessus et je prend un comprimé sur le champs. 
Vers 4 heures on a bien réalisé que l`objectif visé pour aujourd`hui ne serait pas possible. On décide donc de chercher un motel dans la ville de Pinotepa. On arrête au premier hôtel que l`on voit. Je décide d`y aller la première pour demander s`il y a une chambre de libre. HA. Oui qu`elle me dit c`est 250 pesos pour 2 heures! Hein quoi? Je suis dans un bordel.... oups. Non merci. Finalement nous avons trouvé un endroit assez jolie dans une ville un peu laissé à l`abandon, tout est fermé, les prostitués sur les coins de rue. Des sans abris, bref, on a bien hâte de sortir de là.
Tout est abandonné ainsi. Remarquez que l`autobus stationné devant cet hôtel fermé, a tout les pneus crevé, elle doit y être depuis fort longtemps.
 Mais l`hôtel était super et les motos en sécurité. Et vous savez quoi? On a trouvé un seul resto ouvert et c`était un restaurant Chinois. Alors on a changé de menu. C`était très bon. Dodo de bonne heure le Benadryl aide...  


samedi 16 septembre 2017

Acapulco, Guerrero, Mexique

Acapulco. L`envers du décor!!!

16 septembre 2017

Ce matin nous avons eu une longue réflexion sur l`état de notre motivation. Ça fait du bien de remettre les pendules  l`heure. On pars la tête un peu plus légère. On a bien pris nos indications sur la mappe, car tout a super bien été dans les grandes villes. Nous avons roulé nos 300km et plus et nous voici à Acapulco. Oui, mais pas celui que vous connaissez, pas celui des revues et des agences de voyage. Où nous sommes pas de touristes, pas de gros hôtels, pas de belles rues.

Je vais vous raconter une histoire invraisemblable:

On s`était donné comme objectif de nous rendre au tout début d`Acapulco et de traverser la ville que demain matin (c`est plus tranquille et en plus on est reposé et il fait un peu plus frais (29 C). Donc rendu à Bajos del Ejido nous devons choisir si nous contournons la grosse ville ou si nous y allons pour trouver un endroit où dormir. On demande à quelques personnes et deux d`entre eux nous dis qu`il y en a un dans 5 à 6 km. Sauf que l`on ne comprend pas très bien où il est situé. On pars donc a sa recherche, on en trouve un mais nous décidons de continuer un peu pour voir s`il y en a d`autres plus loin. Après quelques kilomètres on décide de retourner voir celui que l`on avais vu, c`était le seul. On tourne dans une rue pour faire demi-tour. Sur le coin de la rue un homme nous accoste et nous demande si l`on chercher un endroit où dormir?! En espagnol bien sûr. Euh oui.... il voit nos drapeaux sur les motos et nous dit: ha ben vous venez du Québec! Tabarnac! Un Mexicain qui est venu rester au Québec pendant 10 ans, il restait à Ville Lasalle. Tu parles d`un adon!!!!!!!! Il nous dit de le suivre qu`il a une chambre a louer chez lui. Il prend l`autobus et on le suit. Bon la chambre est potable, juste potable, mais on la prend quand même il nous fait un bon prix. Ensuite son frère vient nous voir, il a un petit resto sur la plage et nous demande si on veux bien allé y manger une bouchée. Ok. Donc encore un souper sur la plage, yé. Ensuite on rentre les becyks en dedans de grandes portes pour qu`ils y soit en sécurité, car ici c`est un quartier très pauvre, on ne prends pas de chance.
Vue sur la rue, chiens et chats errants partout.
Ouin bon on ne s`est pas fait a souper.... par contre le frigo fonctionne et on y fait congeler nos brevages pour demain.
Petit repos avant d`aller souper.
Notre lunch, poisson frit, riz et salade. Mmm...
Notre nouvel ami, Freddy, le Québécois d`adoption.
Après souper nous sommes allé marcher dans le village. Les hôtels ici c`est à ça qu`ils ressemblent. On est loin du Acapulco des revues.

Ben quoi il fallait bien finir sur une bonne note. Assis à notre petite table à deux en attendant notre souper.

Bye.